Par un matin ensoleillé. [PV Haji]

Ce matin là, la chef du clan des Sora no Hoshi c'était levée de bonne heure pour une fois. Elle ne parvenait plus à dormir et un vent de renouveau caressait ses narines. Le printemps, voila une belle saison, où les cerisiers en fleur offraient tous leurs arômes. C'est ainsi qu'elle enfilla son Yukata ample et sortit à pas de velour dans la cour.

Pourtant son vêtement blanc n'était pas particulièrement discret, mais comme il n'y avait encore personne alors que l'aube naissait, elle entendant des enfants rêver dans leur batiment, certains pronomçaient des parôles incompréhensibles, d'autres ne cessaient de se tourner et se retourner dans leur futon. Oui, une belle journée commençait. Elle saisit rapidement un mouchoir de sa manche et toussa discrètement, une tache de sang apparût alors sur le carré de soie blanche. Sa maladie ampirait, elle allait bientot mourir, cela ne faisait aucun doute. Levant les yeux au ciel, elle admira les cerisier, assise par terre. Peut-être était-ce la dernière année où elle pourrait les voir. Elle parraissait si jeune, et déjà mourante. Enfin, elle avait eut 105ans de vie derière elle, et son corps, malgré sa jeunesse perpétuelle le sentait. Ses mains jouaient dans le sable comme une enfant, elle ne parvenait pas à détacher son regard des pétales qui flottaient au vent.

comme tous le matin Haji aimer admire les cerisiers en fleur pousser pare le vent des pétale de fleur tournoyer et retomber au seul, comme tout les matins il aimer aussi faire c`est exercices de Yoga, se mi en position le dos droit les genoux pliés, et commence, avec beaucoup de calme et de douceur, et ne vie pas Makkura Nakajima tout t`en continuent c`est exercices

[Attention, tu dois faire un petit peu plus de lignes d'écriture]

Makkura avait fermé les yeux, le vent poussait dans sa direction des odeurs qu'elle connaissait, les cerisiers, le riz en train de cuire, l'humidité des champs non loin, mais aussi une odeur familière. Se redressant avec beaucoup de difficulté, elle se leva en s'appuyant sur un arbre. Mon dieu qu'elle c'était affaiblie avec le temps, ce n'était pas aujourd'hui qu'elle menerait une guerre comme autrefois. Elle arpenta la cour avant de trouver ce qu'elle cherchait. Un jeune homme était là, On aurait dit qu'il avait son age mais au final, elle savait qu'il était bien plus jeune qu'elle. Haji, elle l'avait rencontré quand il n'avait que sept ans, et maintenant il vivait ici, en temps que serviteur. Au fond, elle le voyait encore comme un gamin, mais maintenant, c'était un beau jeune homme. A première vue il faisait son yoga. C'était une discipline étrange, qu'elle avait cessé de pratiqué au début de sa maladie. Elle le regarda sans rien dire, sans le troubler. Remontant parfois une manche de son vêtement qui tombait de son épaule elle ne souriait pas, comme d'habitude, son visage reffletant de l'autorité.

( oui je saie désolé sa va pas être facile )


les yeux fermer, tout tend continuant mes exercices de Yoga, je senti une présence qui mette familier, un parfum qui ne mette pas inconnu, j'ouvre les yeux , et vit au loin un silhouette de femme, une très belle femme, de longs cheveux noirs, des yeux d'un noir profond, le vent souffler dans mes cheveux noir tout tend emportons les pétales des cerisier qui virevolter autour de moi, et qui emporte se parfin de cette silhouette de cette femme, qui été telle, noça pas dire un mot, je continua mes exercice.

Makkura se rapprocha lentement sans faire de bruit attendant patiemment qu'il ait terminé son yoga. Pourtant un bruit se fit entendre depuis la maison principale, des pas rapides et se rapprochant. Un jeune homme se rapprocha d'elle ses cheveux blond refflettant le soleil et ses lunettes en demi-lune ne cachant que partiellement son regard dur. Il s'arrêta à quelques pas d'elle et avança alors d'un pas plus posé.

- Je vous cherchais Nakajima-sama... Vous ne devriez pas être dehors par ce froid.

Makkura détourna la tête d'un air agacé. Ryomen lui interdisait toujours tout, tout ça parce qu'elle était malade. Mais le froid ne changerait rien à sa maladie non ? Les yeux du garçon se tournèrent vers Haji, le regardant d'un air de mépris et hautain.

- Hey... Haji-kun... Tu devrais aller préparer le repas de notre chef...

Makkura leva la main pour qu'il s'arrête. Elle ne lui avait rien demandé non ? Pourquoi fallait-il toujours qu'il cherche les ennuis avec Haji. De plus, elle n'avait pas faim, elle ne mangeait quasiment pas il faut dire. Ryomen sembla énervé, bien plus que d'habitude.

- Nakajima-sama... votre patience envers ce garçon n'est pas une bonne chose... Je ne comprendrais jamais votre gentillesse envers un enfant comme lui.


En effet, même si Makkura ne le montrait pas, elle avait une grande tendresse pour Haji, elle ne voyait pourtant pas en quoi le laisser faire son yoga de si bonne heure allait la dévier de ses obligations. Elle poussa un soupir, tout ce bruit au final n'était en rien reposant.

les yeux fermer, tout tend continuant mes exercices,un bruit se fit entendre depuis la maison principale, je rameta, et vie Ryomen se rapprocha lentement d`elle et lui dire:


- Je vous cherchais Nakajima-sama... Vous ne devriez pas être dehors par ce froid.


Makkura détourna la tête d'un air agacé. Ryomen c`est tournèrent vers moi et me dit:


- Hey... Haji-kun... Tu devrais aller préparer le repas de notre chef...

il commences vraiment a me gonfler, toujours donne des ordre a notre chef, toujours lui interdisait tout et d`un regard noir me retourna et lui dit:


" lâche moi, et laisse notre chef faire se qui lui plaie"


tout tend rapprochement d`elle je ne lavai pas reconnu de long, enlevi ma veste et la possa sur c`est epole pour évité quelle ne prenne froid.


" voulez vous quelque chose "

Makkura n'avait jamais su faire taire Ryomen, il ne faisait que dire tout haut ce que le clan pensait, même si franchement il était agaçant. Haji avait été dérangé durant ses exercices et la jeune fille ne pouvait pas s'empêcher d'en vouloir à son arme. Son serviteur lui demanda si elle voulait quelque chose. Elle fit non de la tête au grand damne de son arme et conseiller.

- Vous devriez manger un peu ! Si vous continuez vous allez vraiment mourir.

Il finit par reculer légèrement face au regard noir que lui jeta la chef de clan. Comment osait-il parler de sa mort prochaine ! C'était un sujet à éviter à tout prix. Elle avait même mis la main sur un de ses sabres au cas où, pour le faire taire. Ryomen ne savait pas tenir sa langue. Et c'était d'ailleurs son plus grand défaut.

- Fais réunir le clan dans deux heures dans la salle de conseil, j'aimerai m'entretenir avec eux... Et cette fois... Haji-kun aussi viendra.

Ryomen étouffa un "quoi !" indigné, mais dans l'état où était la jeune fille, mieux vallait ne pas la contredire. Il s'inclina l'égèrement et repartit en maugréant, jetant un dernier regard furieux au jeune serviteur. Makkura se retrouva seule avec Haji.

- Navrée qu'il se comporte si mal... il t'a dérangé durant tes exercices...
Fit-elle sans le regarder, mais elle finit par tourner la tête vers lui en lui lançant un regard soupçoneux.

- D'ailleurs as-tu mangé ? A ton age tu dois prendre des forces pour la journée, de plus, comme je le disais, pour une fois tu viendras participer au conseil.

Elle dit:

- Fais réunir le clan dans deux heures dans la salle de conseil, j'aimerai m'entretenir avec eux... Et cette fois... Haji-kun aussi viendra.

a ces mot fu surpri, moi qui navai encor jamai participer a une réunion dans la salle de conseil, fier mes en même temp surpri quelle veule que je participe, enfin en me considère comme menbre du clan, pri dans mes pencer. Elle me dit:


- Navrée qu'il se comporte si mal... il t'a dérangé durant tes exercices...

" ne vous inquiète pas chef j'ai labitude avec lui "


- D'ailleurs as-tu mangé ? A ton age tu dois prendre des forces pour la journée, de plus, comme je le disais, pour une fois tu viendras participer au conseil.

" non ces vrai je n'ai pas encor Monge, main ne vous inquiète pas pour moi. Mais vous vous devriez monger vous dever prendre des forse"

et parti lui chercher quelque chos, des fruit, et du thé.

" voilà pour vous "

Lia fit une grimace quand il lui dit de manger... Elle n'avait pas faim, comme tous les jours, pourtant elle était forcée d'admettre qu'il avait raison, si elle ne mangeait pas elle finirait par mourir encore plus vite. Elle le vit partir vers les cuisines et ne put s'empêcher de sourire dans son dos, sans qu'il ne la voit. C'était quelqu'un de bien, et si elle n'avait pas autant de responsabilité elle se laisserait volontiers aller à être un peu plus humaine, mais ce n'était pas le cas, elle devait se montrer dure, et pourtant tout le monde trouvait qu'elle était encore trop gentille avec lui. Il finit par revenir les bras chargés de nourriture, en le voyant elle retrouva son visage sans sourire, imperturbable. Il était attentionné.

S'asseyant par terre elle regarda les fruits sans en avoir envie, les faisant longuement tourner entre ses doigts sans en manger. Elle jeta un regard à Haji comme pour lui demander si elle était obligée de manger. Elle lui tendit un fruit, lui proposant de manger avec elle. Bon, d'accord cela ne se faisait pas de manger dehors avec son serviteur, mais franchement, elle ne s'en souciait pas beaucoup, pour elle, il était bien plus qu'un serviteur et il n'y avait aucune raison pour qu'elle le laisse ne pas manger. La journée allait s'annoncer rude.

Elle croqua finalement dans un fruit, elle avait mal au ventre, son estomac n'étant pas habitué à manger. Elle jeta un regard vers le bâtiment avant de dire à Haji.

- Ne fais pas attention à Ryomen, un jour il verra que tu es un grand combattant.

Elle bu une gorgée de thé chaud avant de continuer.

- Tu sais, tu n'es pas tout le temps obligé de me servir comme ça... reste près de moi c'est tout ce qui compte.

Fit-elle sans pour autant paraitre plus gentille. Pourtant sa voix était légèrement plus douce et plus agréable que le ton froid qu'elle employait avec tous les autres, un petit traitement de faveur pour Haji quand ils étaient seuls. Elle se pencha de coté, prise d'une nouvelle quinte de toux, une petite goute de sang finissant par apparaitre à la commissure de ses lèvres.